Comme Jadis
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Comme Jadis
J’avais perdu mes ailes
Mais tu les as retrouvé parmi les cendres
J’avais oublié comment regarder le ciel
Et tu m’as ouvert le monde dans tes bras d’ange.
Ce soir je me souviens de tous nos baisers
De nos moments de folie à la belle étoile en rêvant de mettre les voiles
De nos danses endiablées autour d’un feu d’été
De nos promesses et de nos tendresses.
Tu m’as Montré ce que c’est que de vivre
Sans ce soucier des malheurs d’hier
Et des incertitudes de demain
Tu as chamboulé mon Univers
Alors que je ne pensais plus qu’elle pouvait me rendre ivre
Et que j’avais perdu tout espoir en l’être humain.
Tu es débarqué dans ma vie comme une étoile filante
Tu es passé en coup de vent
Une longue bourrasque qui dura plusieurs mois
Et qui laissa dans chaque pore de ma peau
Les traces de ton passage.
Tu me manques aujourd’hui
Comme un casse-tête qui a perdu la tête d’un personnage important
Je n’ai pu te retenir, mais ce soir je souris encore pourtant
Malgré les larmes qui coulent le long de mes joues
En voyant les perséides et les lucioles danser sous un ciel d’encre noir...
Comme jadis.
Mais tu les as retrouvé parmi les cendres
J’avais oublié comment regarder le ciel
Et tu m’as ouvert le monde dans tes bras d’ange.
Ce soir je me souviens de tous nos baisers
De nos moments de folie à la belle étoile en rêvant de mettre les voiles
De nos danses endiablées autour d’un feu d’été
De nos promesses et de nos tendresses.
Tu m’as Montré ce que c’est que de vivre
Sans ce soucier des malheurs d’hier
Et des incertitudes de demain
Tu as chamboulé mon Univers
Alors que je ne pensais plus qu’elle pouvait me rendre ivre
Et que j’avais perdu tout espoir en l’être humain.
Tu es débarqué dans ma vie comme une étoile filante
Tu es passé en coup de vent
Une longue bourrasque qui dura plusieurs mois
Et qui laissa dans chaque pore de ma peau
Les traces de ton passage.
Tu me manques aujourd’hui
Comme un casse-tête qui a perdu la tête d’un personnage important
Je n’ai pu te retenir, mais ce soir je souris encore pourtant
Malgré les larmes qui coulent le long de mes joues
En voyant les perséides et les lucioles danser sous un ciel d’encre noir...
Comme jadis.
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