Une requête, la forêt

Une requête, la forêt

À l'aube, j'ai décidé de me promener
Afin de faire jaillir mes frustrations et mes pensées
Dans cette univers dégénéré et incompréhensible
Je peux à présent entendre des sons invincibles
Semblables aux grognements du tonnerre

Je suis maintenant arrivée sur des lieux domptueux
Qu'ils m'apparaissent dévastés pas des arbres coupés
Je réalise actuellement, ce qu'est la coupe à blanc: une maladie
Le souffle en tristesse je regarde les ruisseaux remplis d'amertume
La révolte m'envahie contre cette lutte inachevée

Ces beaux paysages que l'on voyait dans les contes d'enfants
Ne s'avèrent à présent qu'irréls et monstrueux
Chaque visage panoramique ont quelque chose d'illégal
La boule d'or réussi à éclairer chaque centimètre carré
De ces vastes étendues ravagées par les exploiteurs en forêt

Je me ferme les yeux, et souhaite d'un avenir prometteur
Cette maladie ne devrait être vécue par ces êtres embelliseurs
En retournant sur mes pas, je m'apperçois comment la forêt est un beau cadeau de la vie