texte

Je sais que c'est long...ce n'est pas de la poésie...mais lisez le quand même



Je ne sais même pas par où je devrais commencer. Y’a tellement de choses à écrire que je ne peux même pas entamer ce chapitre. Si je saurais la clef de la facilité je n’aurais pas autant hésiter a taper ces lignes en cette instant. Des millions de gens continueront à tourner et à respirer pendant que moi, une personne complète inconnue aux yeux de n’importe qui, tentera de trouver ce chemin. Mais le quel me diriez-vous? Je ne sais même pas quoi y répondre. Qui un jour a décidé que telle route sera tracée et tel cœur sera en partie lié a cette décision? Alors qui peux y répondre ? Un bout de papier historique sur qui nous pouvons espérer. Chaque jour est une bataille mais peu de gens le savent. Une guerre au fond de mon être, de mon âme, qui ne peu s’en contrôler. Une étape suivie de procédure interminable qui ne mène qu’à une tempête de désaccord. Pendant qu’au sommet l’avenir se traîne, nos hommes de mains se tiraillent pour l’obtention du pouvoir et de la raison. C’est alors que la terre continue de tourner mais son défaut ne sera pas sans blessure. Ils rentreront fier au pays en croyants avoir, en ce jour, accomplie ce que nous attendions de ceux-ci. Avec acclamation le peuple se réjouira de leur exploit. Mais avec dégoût mes yeux et ceux de tous ceux qui seront en accord regarderont ceux qui nous meurent. Après cette réussite, à quelque kilomètre de là, notre oxygène baissera, nos couleurs s’éteindront et des maisons grandiront. Un prix pour un arbre, un prix pour de l’eau potable. Maintenant aurons nous un prix pour la vie ? Notre forêt est vendue pour être un profit, un gagne pain à un homme qui n’en n’a point besoins. Des billets jaillissent chaque seconde ses poches mais pour un égocentrique dans son genre ce n’est pas suffisant. Son geste ne sera pas sans répercutions, mais t’inquiète mon vieux, tu as le temps de mourir avant.

Si chaque seconde, nous agirions pour aider un autre, nous pourrions sauver le peu de chance qui nous reste. Dans les yeux d’un enfant, j’ai vue renaître l’espoir d’une génération. Dans les yeux d’un africain, j’ai vue renaître l’espoir de survie. Dans les yeux d’un PDG, j’ai vu mes rêves s’écrouler. C’est une course sans fin qui mènera toujours à revoir ma terre se désagréger. Peut importe le grain d’espoir, il y aura toujours quelqu’un pour le dévaster. Des gens bien placé, des gens qui ne lisent le journal que pour la bourse et avoir le plaisir de voir augmenté leurs chiffres d’affaires. La tête tellement enflé qui ne vois même pas que le quatre vingt dixième de son porte feuille sauverait un village complet du tiers monde. Ces à ce point que nous sommes rendue. Un peuple sans cervelle qui se traîne lui-même au bord du ravin. C’est pitoyable de voir que des générations on survécu et que la notre s’éteint pour un bien matériel.

Des gens clament haut et fort qu’ils veulent du changement. Mais il ne font que le crier et passe à autre chose. Le changement, il faut le provoquer et il faut l’entamer. Des mots peuvent changer le monde mai seulement si ceux-ci se transforme en action. Parler et agissez.

Le fond de ton texte transmet ce que tu veux nous dire mais le fil est décousu. C'est un texte qui fait réfléchir mais qui gagnerait à être relu et restructuré et je crois que ça en ferait un très bon texte d'opinion ! Tu as la touche pour être crue mais douce, et tu sais comment nous faire réfléchir sur ces choses simples qui nous arrivent tous les jours !

merci pyra