composition/texte/poème

juste pensée l'ami
penser des plaies je dis
peut-être s'ensuivra ainsi
un apotre du vrai je suis

Un jour et pour toujours

Petit poème racontant une histoire avec une fille qui s'est bien foutu de ma gueulle, en tout cas, libre a vous de le lire, mais de point plaisir ne s'en échaperra.


Ma tortionaire


Pour l’instant
T’es tout ce que j’ai besoin
T’es tout ce que j’aurais faim
Tu es … Tout pour moi

Seulement, qu’à travers tes yeux
Tu as pus m’arracher des aveux
Qui ont pu te faire sourire
Ou simplement, te faire rire

Dis moi pourquoi ?
Tu t’es ainsi joué de moi
Dis moi comment c’est arrivé ?
Que je me suis fait arnaqué, et brisé !

Car plus jamais tu m’auras
Plus jamais tu rira de moi
Car seulement je t’aurai tué
Dans mon cœur, torturé

Mais au moins, tu n’étais pas la seul existante
Qui pouvais prendre mon cœur
Sans me faire peur
Car, elle, elle est toujours vivante

Elle n’es pas comme toi
Pas comme une tortionnaire
Qui en a même plein les bras
De me faire vivre … L’enfer

Oui l’enfer
Le sang sur mon cœur
Et mes pensés, qui souffre en cœur
Malgré la vrai qui m’aime dure comme fer

Tu reste … Ma tortionnaire

Miguaël
Tortionaire, va rôtir en enfer

pfffffffffffff

La soirée abandonné - Seul

Je commence a m’ennuyer
De ces soirée abandonnées
Ou mon âme y est abandonnée
Comparé aux autre bien gardés

Seul
Je suis le seul qui regarde, ma gueulle
Comparé aux autre qui sorte
Des endroits amusant par les portes

Seul
Je me dis que tout va avec ma gueulle
Pour me réconforter
De cette ennuis qui dure une éternité

Seulement
Mon art me garde en vie
Ma vie garde mon talent
Mais mon physique et mon âme me scie

D’autre, sorte a travers leur fantaisie
Leur projet et leur rêverie
Mais je reste dans la réalité
De mon âme abandonnée

Peut-être par son allure solitaire
Ou sa vie sans frère
Tant de mystères
Ne sauraient me jeter à terre

Bon, puisque qu'il n'a pas l'air d'y avoir une restriction de nombre de poème a poster en voila un petit autre, je l'ai écris en me reveillant.

Le rêve


Chanceux j’ai été
D’avoir capturé un cœur de ta beauté
Qui, a travers le monde entier
Tous, pourrons envié

Quand je t’ai vu
Sur le coin de la rue
J’ai été capturé
Par ta beauté, délaisser

Seulement, je me suis dit
Comment une fille aussi belle
Sans aucun trait interdit
Peut être abandonné comme elle

J’ai lui dit alors au milieu
Refoulant mon sens peureux
De comment, à travers la brume de la rue
Je l’ai observé, sans que cela ne parue

Elle me sourie
Me pris la main
Puis, jusqu’au lendemain
Nous alliâmes marcher sous la lune de minuit

Seulement
Que j’ai réaliser
Que la réalité
N’était point au rendez-vous en ce temps

Le rêve
Toujours sans arrêt partiel
Le rêve
Toujours aussi réel

J’a rêvé de minuit
Quand j’étais petit
Maintenant je rêve de l’ombre noir
Pour purifier mon âme, par tout les miroirs

Mais je me réveille
Dans cette vie sans merveille
Qui m’a laissé rêvé
A une belle fille, abandonné

Zone de tuberculances

par Béland




La nature est à l’extérieur

Les patates poussent dans le labour

Le goût est deux milles fois meilleur

Cultivées avec de l’amour



Elles grandissent silencieusement

Sans se soucier du lendemain

Elles se développent tranquillement

Avec la rosée du matin



Tel un concombre mariné

La patate se mange avec

Délice, rôtie ou pilée

De Natascouane jusqu’à La Mecque



Au Québec, goûtez la poutine

Vous ne trouverez nul part ailleur

Ce met provenant des cantines

La nature est à l’intérieur



par Béland, dit le plus beau

La Patate et le Soleil

La Patate dans son champ poussant

Le Soleil observant

S'est-elle creuvé un œil

Et retrouvée dans un cercueil

Enterrée six pieds sous terre

Est-elle devenue une pomme de terre…

Wow! Marchand De Boeufs C'est très touchant tes poèmes

Tu aimes les patates à ce point?

Homage au patates par Marchand de boeuf !
- La main au coeur.

Petit truc très court.


Je te revoie

Content de te revoir
Y va falloir en reparler un soir
De tout nos moments passé dans la même pièce
Et de tes moments sans laisse

Seulement tu es parti
Mais tu es revenu
Pour me dire salut
Et j’ai simplement souri

Y en a de ces moment
Qu’on oubli jamais dans vie
Les moments du vieux temps
On l’on s’aimais avec envie

Malgré la séparation
Sinistre et désastreuse
La je te voit déjà heureuse
Comme si ton âme eut été un pont

A ma vie
Ton amour, arrivé, comme un colis
A ma vie, maintenant sans replis
Pas comme avant avec son établi

C'est pas que j'aime les patates... le premier c'était pour la classe de français et le second c'est parce que j'avais trouver le premier drôle.... et si vous voulez vraiment savoir si j'aime les patates visitez mon site dans la section jokes de patates..... je ne commence pas à n'en raconter ici sinon je ne finirai plus..... attention âmes sensibles...

Section : Poésie et Écriture
Pour publier poème et histoire

Pourquoi pas ?
Mais il faudrait trouvé plus d'interessé je crois
Car c'est une petit groupe restreint qui écrit ici .
c'est pas tout le monde qui compose.

Oui moi j'aimerais ça mais a un moment donner vous allez être écouerer de me lire !!!!!

J'appuie le projet

Maître Écureuil et le Bécike

Maître Écureuil sur son Bécike perché
Sur un arbre voulait escalader
La fiole s'est-il pêtée
Que le Bécike profita pour se casser

très belle figure de style Marchand De Boeufs...

La Chihuahua et le Flamant rose

Le Chihuahua très stupide
Le Flamant rose très frigide
Le Chihuahua s'acquiert le rose
Et commence à abandonner la prose
Un Fif a-t-il l'air
Enfourcha le Dromadaire
Abandonna le Chameau
Et mit le Flamant sur son dos

XEBUZE a écrit:

très belle figure de style Marchand De Boeufs...

merci... je figure de style bien, hen? héhé

très bel exercice de style!

Bravo!

Tiens Marchand De Boeufs, un autre exercice de style de mon cru!



Ducon Lajoie était un hostie de la-mi-ré-do-sol-fa, qui aimait bien faire un brin de causette sous la poudrerie.

Et souvent il s’écriait : « Marteau martellé martellant cervelle de pucelle – Quoi? Cest encore elle? »

Aimant amante des jours joyeux
Amant aimant poubelle putride cherche ogresque mangeuse aimant manger du mouton puceau

Hahaha – cela lui va à ravir
Car le ravissant ravisseur ravi la ravissait et lui faisit envie

La vie assise à son chevet était chevaleresque
Chevauchante
Chevauchée débauchée de l’odyssée 007

Et l’agent astringeant sortit son flingue enflammé qu’il brandit expressément dans sa bouche caverneuse, prête à accueillir la réponse de son canon qui aussitôt répliqua : « Ô gué Ôqué »

La borne fontaine pleurait, fondait de son eau qui lui glaçait la stalagmite ensanglantée et il continua de battre la mesure – Ô gué Ô gué

Il partit joyeux, se martelant la cervelle et s’écria : « Quoi! C"est encore elle!? »

Ô gué Ô gué !

La Mouche et le Char

Le Char à toute vitesse roulant
Sur le route de Val-Brillant
La Mouche volant selon la brise
Vint s'écraser sur le pare-brise

La mort, c'est une grande question que bien des philosophe et savant se sont posé, malgré tout ce qui peux y avoir apres, la mort reste un choix du destin

La mort

C’est une grand histoire
Qui débute le soir
Et qui finit en pleine nuit
Au milieu d’un rêve qui me fuit

Malgré le plaisir exercé
Malgré ce moment partagé
La peur, elle, a subsisté
Et le souffle chaud lui s’est étouffé

La peur elle même eut reculé
Devant cette fin arrangé
De mon bonheur peu développer déjà
Que l’on arrache comme une graine de soja

Jamais j’aurais pu comprendre
À ce moment
Qu’on ne peut attendre
Après le destin serrant

Qui vous étouffe dans votre vie
Autant bien qu’une paire de main dans votre lit
Qui ne vous laisse pas vous enfuir
Malgré votre désir de ne pas nuire

L’étau se ressert
Comme se retire la mer
Lentement, mais sûrement
Se préparant a vous conduire à la mort et son courant

Le noir apparaît
Le sens auditif disparaît
Mon cœur se terrait
Ma vie est … En arrêt